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When the Light Breaks

Le pitch

Reykjavik, Islande. Vingt-quatre heures dans la vie d’Una, d’un coucher de soleil à l’autre : de la vie et de ses perspectives, à la disparition de l’être qu’elle aime.

Notre avis : une géographie du deuil réussie

La veille, Una, la vingtaine, fumait une dernière fois avec Diddi. Amoureux, ils passaient la nuit ensemble. Lui, emporté par ses projets personnels, quitter sa petite amie officielle, Karla, et voyager ; elle, un peu ailleurs, la tête dans ses études d’art, un peu perdue par cette relation cachée. Une dernière fois ensemble, avant qu’un accident n’emporte Diddi. Le temps s’arrête, tétanisé par le choc. Rúnar Rúnarsson (lire son interview lors du dernier Festival de Cannes) filme ces vingt-quatre heures. Ceux d’un deuil, de l’incompréhension, d’une jeunesse touchée qui se recroqueville, s’entraide, se cherche, pour mieux se soutenir, dans un univers où l’adulte se montre dysfonctionnel, inutile, quand l’architecture et la géographie servent de tuteur et de catalyseur pour vaincre l’invariable cruauté du deuil. Une réussite.

Meta

Sortie : 19 février 2025
Durée : 82 min
Genre : Drame
Réalisation et scénario : Rúnar Rúnarsson
Comédiens : Elín Hall, Mikael Kaaber, Katla Njálsdóttir
Titre original : Ljosbrot

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