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Le Joli Mai

Le Pitch

Chaque jour, ce mois de mai 1962, Chris Marker interroge et filme, l’opinion, le mouvement, le quotidien des Parisiens ; la politique, les loisirs, la vie.

La Note

Avant Internet, avant l’INA, avant Strip Tease, il y eut Chris Marker ; son sensible, son œil, son parler. A la manière d’un Doisneau, à la façon d’un Depardon, il y a dans l’objectif de sa caméra, un toucher, une vérité, un poésie filmée chaque jour de ce mois de mai, empreint de témoignages, de plans aériens, de plans en noir et blanc, de rues et de monuments, d’un Paris d’avant, d’un Paris qui n’existe plus. Ici on parle du bonheur, là d’économie, de la famille, de loisirs, d’amour ; d’un peu de politique, mais surtout de beaucoup de vie. On la pense sérieuse, on la pense ancrée dans le temps, elle est pourtant terriblement nostalgique, imprimée dans la pellicule ; immortelle. Un joli mois de mai 1962. Un chef-d’œuvre, culte, comme personne n’aura jamais ainsi filmé Paris ; une dame, une oeuvre, une vie. Tout cela, bercée par la voix langoureuse d’Yves Montant, roulante, chantante, baignée du Sud. Superbe. On vous l’a dit.

Méta

Date de sortie : 1963
Durée : 136 min
Genre : Documentaire
Réalisation : Chris Marker, Pierre Lhomme
Scénario : Catherine Varlin, Chris Marker
Comédiens : Yves Montand, Chris Marker, Simone Signoret

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